Comment réussir son entreprise sur Internet ? Comment développer un business rentable (qui vous rapporte des clients) grâce à Internet ? Ils vous mentent, ceux qui vous disent qu’il faut juste de la passion pour faire prospérer un site Internet, un blog, une chaîne Youtube ou un profil sur un réseau social. Chaque année, des dizaines de milliers d’entrepreneurs et créateurs de contenus jettent l’éponge et abandonnent.. Tandis que d’autres réussissent outrageusement, en faisant simplement leur travail méthodiquement et cliniquement. Mais sans la moindre passion. Pourtant, c’est un mantra que vous allez sans doute lire régulièrement (que votre affaire soit en ligne ou non) : soyez passionnés si vous voulez réussir ! Ce n’est pas complètement faux mais je vais essayer dans ce guide de vous donner le conseils que j’aurais aimé avoir lorsque j’ai démarré pour développer votre activité en ligne en étant aligné avec vos valeurs et désirs.
Note de Rudy : Cet article a été écrit par André Dubois du site Traficmania.com. André contribue depuis quelques mois sur le blog et partage avec vous ses meilleures stratégies marketing. Pour proposer vos articles, contactez-moi sur la page dédiée.
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Réussir son entreprise sur Internet
Faut-il forcément partir d’une passion pour réussir ?
Oui, il existe des personnes qui en partageant leur enthousiasme se retrouvent à la tête d’un business sans avoir forcément cherché à en vivre initialement.
C’est le cas de nombreux Youtubeurs ou influenceurs qui se retrouvent à ouvrir des restaurants, à vendre des formations ou à lancer des spectacles parce qu’en chemin, ils ont compris l’impact de leur communauté (et la capacité à monétiser leur passion).
Plus prosaïquement, Rudy Viard qui m’accueille sur son blog aujourd’hui a commencé en lançant simplement son blog pour partager de simples astuces ou stratégies marketing et dont les publications l’ont amené finalement à lancer son activité de consultant.
Donc oui, cela arrive.
Sans que cela ne soit la règle (car c’est très long).
En réalité, aussi étrange que ce soit, vous pouvez :
- Créer une cabinet conseil sur une thématique précise en sachant vous entourer.
- Devenir formateur de guitare pour les débutants (en ayant juste un temps d’avance sur eux !)
- Développer un site ecommerce autour de la voile alors même que vous n’avez jamais fait de bateau.
Il suffit de comprendre que vous avez une niche rentable en face de vous et de vous lancer.
Alors clairement si vous détestez ce que vous vendez et n’avez aucune affinité avec l’audience à qui vous parlez (ni n’êtes prêt à apprendre les compétences dont vous manquez), vous n’allez sûrement jamais décoller.
Mais ce que je veux dire, c’est qu’entreprendre n’est pas une histoire de passion mais de ténacité et des chiffres.
Je travaille à mon compte depuis deux ans et j’ai auparavant travaillé dans de grosses entreprises industrielles pendant une petite dizaine d’années.
J’ai observé les dirigeants et les responsables qui réussissent et ceux qui échouent.
Plusieurs de mes sites ont lamentablement floppé.
D’autres, au contraire, ont bien marché (sans forcément que je comprenne au début ce qui faisait la différence entre succès et échec).
Ces douze années m’ont permis de constituer ma petite liste personnelle de ce qu’il faut faire pour réussir dans un business.
C’est totalement subjectif, je ne prétends aucunement que ce soit une vérité universelle qui s’applique à chacun.
Mais c’est ce que je crois et j’espère que vous en tirerez des leçons profitables pour votre propre entreprise.
1. Le sens des affaires n’existe pas : mesurez et oubliez la passion
Sens des affaires : nom donné aux données chiffrées par ceux qui n’entreprennent pas.
Ok, je sais que l’instinct existe.
Parfois une idée vous vient et vous sentez que c’est l’affaire du siècle.
C’est parfois juste mais hélas, le plus souvent votre idée de business révolutionnaire est (face à la réalité du marché) archi-foireuse.
Le seul moyen de le savoir : la collecte de données.
Par exemple, Josh Kaufman donne 10 clés d’évaluations d’un marché dans « The Personal MBA » :
- A quel point les gens ont besoin de votre produit et votre service ?
- Quelle est la taille de votre marché ?
- Combien vos clients sont-ils prêts à dépenser ?
- Combien vous coûte l’acquisition d’un nouveau client?
- Combien vous coûte la fabrication et la livraison ?
- Êtes-vous différend de ce qui existe déjà ?
- Combien de temps vous faut-il pour arriver sur votre marché ?
- Combien devez-vous investir pour vous lancer (et percer) ?
- Pouvez-vous vendre à répétition ?
- Aurez-vous assez de temps pour développer votre affaire ?
Ces petites questions toutes simples déterminent la rentabilité de votre affaire.
Je vous conseille de répondre à chacune d’elles de façon pessimiste avant de vous lancer tête baissée.
Note de Rudy : C’est tellement vrai. Même si vous vendez votre expertise et/ou votre savoir-faire (des business qui normalement ne consomment pas beaucoup de cash pour se lancer), vous aurez forcément des dépenses imprévues (et compterez chaque euro si vous n’avez pas anticipé). A l’inverse, si vous développez un concept ambitieux (une marque, une boutique, une agence…), il est sage de sous-évaluer vos rentrées financières et de sur-évaluer vos dépenses.
Le général allemand de la 1ère guerre mondiale disait « La première victime d’une guerre, c’est le plan ».
C’est pareil en entreprenariat : votre business plan est juste un outil qui va forcément varier considérablement de la réalité.
La collecte de données chiffrées ne s’arrête pas là.
Vous devez mesurez votre activité car vous ne contrôlez que ce que vous mesurez.
Note de Rudy : mon mentor Tomas Nathhorst me répétait souvent « Measure to Manage / Manage to Measure » (Mesure pour manager / Manager en mesurant)!,
Imaginons que vous commenciez un régime : comment savoir si vos efforts sont efficaces sans balance ?
Si vous avez un business en ligne, mesurez par exemple :
- Le nombre de personnes s’inscrivant à votre liste pour 100 visiteurs
- Votre trafic, sa composition et ses sources
- Le taux d’ouverture de vos emails et leur taux de clics
- L’efficacité de vos campagnes Facebook Ads ou Google Ads
- Le cheminement des visiteurs sur votre site
- Le taux de conversion de vos pages de ventes
- Le nombre de clients qui achètent une formation, un coaching, un accompagnement (après un 1er achat).
Si vous vendez des produits physiques, vous allez mesurer :
- Le trafic de votre ecommerce (ou de votre boutique)
- Les jours qui performent mieux et la saisonnalité
- L’évolution du nombre de commandes
- L’origine des commandes
- La marge de chaque produit…
La liste est infinie.
A vous de choisir ce qui colle à votre activité et permettra de la piloter (donc de l’optimiser jusqu’à atteindre la rentabilité).
Il vous suffit d’y consacrer une demi-journée un fois par mois.
Ces chiffres vont vous donneront la réalité de ce qui marche ou pas dans votre business.
Mais ne vous arrêtez pas là.
J’ai vu des managers auto-satisfaits passer en revue 150 indicateurs pendant des réunions de 6 heures.
Et ne rien décider.
Les chiffres ne servent à rien si vous n’agissez pas.
Concentrez-vous sur une douzaine de chiffres et prenez des actions :
- Doublez vos efforts et votre budget sur ce qui cartonne.
- Accélérez sur ce qui frétille mais n’est pas encore rentable.
- Coupez ce qui ne fonctionne pas.
2. Apprenez à couper dans le gras
Noah Kagan (un des premiers collaborateurs de Facebook) a raconté une anecdote intéressante sur Mark Zuckerberg.
Ce dernier avait lors d’une réunion écrit sur un tableau blanc : « GROWTH » (croissance).
Puis avait dit à ses équipes qu’il ne validerait plus AUCUNE idée si celle-ci n’avait pas un impact direct sur la croissance du nombre d’utilisateurs de Facebook.
Prenez un temps pour réfléchir à la manière dont vous remplissez votre semaine.
Que faites-vous mécaniquement depuis des années sans que cela ait d’impact sur votre chiffre d’affaires ?
Entre cces posts Linkedin quotidiens likés seulement 3x, ces optimisations de site qui n’apportent pas grand chose ou ces repas d’affaires qui n’ont jamais rien donné, que pourriez-vous couper sans que cela ne change quoi que ce soit à votre business ?
Inversement, quelles tâches évitez-vous (parce qu’elles vous font sortir de votre zone de confort) alors qu’elles pourraient apporter des ventes ?
Allez, il est l’heure de prendre ce téléphone et de rappeler ces anciens clients.
3. Mettez-vous en mode « Carthage doit être détruite » :
Une autre anecdote (juste pour le plaisir) : lorsque Google avait sorti Google+, un concurrent de Facebook, Mark Zuckerberg avait lancé à ses équipes : « Vous savez, l’un de mes orateurs romains préférés terminait tous ses discours avec la phrase « Carthago delenda est » ou « Carthage doit être détruit ». Pour quelques raisons, je pense à ça maintenant ».
« Carthage doit être détruite » est la célèbre phrase de Caton l’Ancien appelant à détruire l’ennemi mortel de Rome : Carthage.
Au final, Facebook avait gagné et remisé Google+ dans les poubelles de l’histoire.
Passez en mode « Carthage » de temps en temps à travers des sprints : pendant 1 jour, 1 semaine, 1 mois, lancez un projet, une stratégie, un outil qui va peut être changer la donne face à vos concurrents.
4. Pour atteindre votre but : commencez par le plus ennuyeux
Nous sommes tous un peu fainéants et la procrastination fait partie de la nature humaine.
Sauf que pour faire fonctionner un business, vous devez aussi en passer par un certain nombre de tâches pénibles.
Exemple : à chaque fois que je publie un article sur TraficMania, j’envoie plusieurs centaines d’emails afin de le promouvoir.
C’est pénible, je travaille avec une assistante pour réaliser cette tâche mais cela doit être fait.
Même si préférerais tester de nouvelles stratégies.
Comment ne pas tomber dans le piège de « repousser cela à demain » ?
En commençant ma journée par cette tâche.
C’est ce que Brian Tracy explique dans le meilleur livre de productivité de tous les temps : « Avalez le crapaud ».
Si vous commencez votre journée par manger un crapaud cru, le reste de votre temps vous paraîtra un doux plaisir.
Chaque jour :
- Demandez-vous ce qui est véritablement impactant pour le chiffre d’affaires de votre société.
- Commencez par la tâche que vous détestez le plus (et qui doit être faite)
- Passez seulement après au reste.
Faites-le sur une semaine, vous allez être épaté par la quantité de travail accomplie.
Si j’avais des salariés, j’inscrirais cette règle dans leur contrat de travail.
5. Faites une chose à la fois… mais faites la bien.
Créer votre site, tester les designs, optimiser les formulaires de capture d’emails, écrire les conditions générales de vente, lancer vos pages Instagram et votre compte Linkedin, produire du contenu, promouvoir votre site, faire la chasse aux backlinks de qualité…
La liste de choses à faire est longue et vous serez vite submergé.
Il y a un trait commun que tous ceux qui réussissent professionnellement partagent : la capacité à prioriser et à se concentrer sur une tâche.
Ceux qui se dispersent sur 20 chantiers différends n’y arrivent pas et ne font que brasser de l’air.
Il existe des tonnes d’outils pour gérer votre temps.
Pour ma part, j’aime utiliser un bon vieux planning et lister des tâches réalistes à accomplir.
Faites-le en version agenda papier ou utilisez Google Agenda (ou le calendrier d’Outlook) qui sont gratuits et parfaits pour cela.
Les avantages ?
Vous serez capable de voir si vos objectifs sont réalistes.
Vous n’oublierez rien en route.
Vous saurez quand votre journée de travail est terminée.
Et jour après jour, vous arriverez à concrétiser vos buts.
Ce focus sur une tâche particulière vaut aussi en terme de concentration des moyens : mieux vaut mettre une partie conséquente de votre budget et de vos efforts sur un lancement ou sur un produit plutôt que de vous disperser.
Si vous vous attelez à des projets importants, plus long terme, décortiquez-le en de multiples sous-tâches terminables en 10 à 30 minutes. Vous pourrez ainsi les placer dans votre agenda et les terminer méthodiquement.
Je le fais notamment sur des tâches sur lesquelles je procrastine.
Exemple : pour l’envoi d’un dossier complet de financement à la banque, je vais d’abord me donner comme tâche de faire la liste des pièces demandées. Le lendemain, je vais imprimer les pièces que j’ai déjà sous la main. Le jour d’après, je vais aller à la recherche des pièces plus compliquées (envoi d’emails ou accès sur l’espace en ligne pour les récupérer). Enfin, je vais terminer en faisant l’impression de tous les documents et l’envoi à la banque.
C’est un exemple mais de cette manière, vous ne serez jamais face à une tâche insupportable à terminer en 4 heures de travail (vous aurez toujours quelque chose pour vous empêcher de commencer).
6. « Fait maintenant est mieux que parfait un jour »
Avancez vite dans vos actions.
Soyez agile.
Faites bien, pas parfait.
Plus vous opérez d’itération dans vos projets et plus vous avez la possibilité d’optimiser.
Ne retardez pas vos lancements.
Lancez, regardez si des clients payent, optimisez ou pivotez.
Au niveau de votre marketing, lancez votre chaîne Youtube ou votre compte Linkedin en mode « sale » plutôt que de passer un temps fou à faire un superbe profil potentiellement à côté de la plaque.
En faisant rapidement, vous apprendrez aussi très vite ce qui fonctionne et ce qui doit être amélioré.
Personne ne vous critiquera car vous n’êtes (encore) personne.
7. Montez en compétences sur l’aspect management, finances et ventes
Je ne vous apprend rien :
- Une affaire doit être rentable pour perdurer.
- Une affaire a besoin de clients pour être rentable.
- Une affaire vous oblige à travailler et interagir avec les autres.
Vous devez donc connaître les bases du management pour gérer la relation avec vos employés (si c’est votre choix d’en avoir) mais aussi de vos prestataires, fournisseurs et clients.
- Au niveau du savoir-être pour réguler les conflits et augmenter votre efficacité.
- Mais aussi des outils qui facilitent la fluidité des communication et le partage de l’information.
Concernant la gestion (et donc les finances), il ne s’agit pas de devenir comptable mais d’anticiper vos fluctuations de trésorerie qui peuvent donner le coup de grâce à un business qui avait pourtant ses chances.
Concernant la vente, c’est un énorme mythe qu’il y aurait des « vendeurs-nés » tandis que les autres ne pourraient pas apprendre à vendre. L’aspect commercial est vital pour votre entreprise et absolument tout le monde peut sans problème maîtriser les techniques de vente.
Note de Rudy : pas besoin d’être un requin pour vendre une prestation, la « vente conseil » nécessite de suivre un processus logique qui permet de mener logiquement vos prospects vers la prise de décision (ma formation « closing » est disponible sur ce lien).
C’est simple.
Achetez 4 ou 5 bons livres ou formations sur chacun de ces thèmes.
C’est fait, vous en saurez assez pour le moment.
L’expérience fera le reste.
8. Les amis de vos amis sont vos amis :
Le réseau, vous en aurez tellement besoin.
Avoir un réseau de connaissances professionnelles peut sembler logique et naturel si vous êtes entrepreneur…
Sauf que lorsque l’on est entrepreneur en ligne, ce réflexe d’aller s’ouvrir sur le monde n’est pas répandu (avec notamment cette sensation que vous pouvez gérer 100% des interactions derrière un ordinateur)
Pourtant, entretenir un réseau est indispensable.
Aucun site Internet, profil social, blog ou chaîne ne peut véritablement percer sans réseau.
Ou alors c’est beaucoup, beaucoup plus long.
Note de Rudy : à chaque fois que je me suis traîné pour aller à un événement IRL de réseautage ou un atelier, j’en suis ressorti avec des connexions qui me servent encore aujourd’hui (et qui sont dans une certaine mesure des amis !). Ils ne sont pas forcément tous devenus des clients mais beaucoup m’ont recommandé sur des projets, m’ont aidé avec leur expertise sur un sujet légal, financier ou marketing sur lequel j’étais moins à l’aise. L’entraide est un gain de temps considérable.
Pour rester terre à terre : si vous voulez obtenir de la visibilité en ligne, vous aurez besoin de partages sur Facebook, Instagram, X / Twitter, Linkedin, TikTok pour lancer la mécanique.
Si vous n’avez pas de contacts, vous aurez besoin de travailler double (ou de payer en utilisant la publicité) :
- Médias et sites influent
- Journalistes
- Influenceurs
- Blogueurs
- Voix qui comptent…
Ces membres de votre réseau sont un accélérateur (même si vous êtes introverti, vous devez sortir de votre coquille).
L’idéal est une rencontre en chair et en os évidemment.
Mais si ce n’est pas possible, vous pouvez également créer un réseau en ligne :
- Dressez une liste de 30 sites ou profils sociaux influents dans votre thématique ou proches de votre thématique.
- Commentez leurs articles ou sur leurs comptes sociaux.
- Suivez-les sur Instagram, X / Twitter ou Linkedin…
- Partagez leurs publications.
- Une fois identifié, envoyez un petit mail pour vous présenter.
- Félicitez-les (sans mentir) pour leurs contenus ou leurs succès.
- Créez un lien et échangez comme deux humains.
- Prenez le temps nécessaire sans demander immédiatement ce qui vous intéresse (vous ne feriez pas cela à une soirée).
- Envoyez- leur un brouillon de votre nouveau projet, produit ou contenu et demandez-leur ce qu’ils en pensent.
- Impliquer ces influents en sollicitant leur expertise est un excellent moyen de les connecter et de les embarquer avec vous.
- Vous pourrez progressivement leur demander s’il est possible de publier un contenu sur leur site (en échange d’un lien).
- Vous pourrez gentiment leur demander s’il serait possible de répercuter le contenu auprès de leur audience.
- Vous pourrez proposer un podcast à deux pour partager votre expertise sur leur compte Instagram, Youtube ou Twitch.
- Vous pourrez peut être un jour les amener à investir dans votre société.
- Créez et maintenez une bonne relation dans le temps. Donnez en priorité. Vous recevrez.
9. Consacrez la moitié de votre temps à la recherche de clients
Que vous travailliez en ligne ou non : trouver des clients est une règle d’or pour chaque entrepreneur.
- Pas de clients, pas de ventes.
- Pas de ventes, pas de business.
- Pas de business, pas de business.
Sauf que si vous souhaitez trouver vos clients grâce à Internet, vous devez comprendre l’enjeu : vous allez devoir chercher de l’attention, des vues, des clics, du trafic qualifié…
Donc être capable de toucher une audience potentiellement intéressée par vos produits ou vos prestations (et donc de sortir la carte bleue ou le chéquier).
Voici les sources de trafic qualifié que vous pouvez utiliser pour votre business en ligne :
Les moteurs de recherche : l’objectif du référencement sur les moteurs est d’être bien placé dans les requêtes que vos clients potentiels tapent sur Google. Mieux vous êtes positionnés sur Google et plus vous avez du trafic. Les stratégies SEO reposent principalement sur trois piliers : votre contenu, l’optimisation de vos pages/site et les liens entrants de qualité. L’avantage de Google est qu’il vous montre à des prospects ayant un véritable problème tandis que vos contenus vont permettre de démontrer votre crédibilité sur le sujet. Je vous invite à lire l’article de Rudy « comment être premier sur Google » pour comprendre comment faire ou le guide du référencement.
Donc bloguez : tenir un blog sur votre site est une excellente source de trafic. Imaginons que vous vendiez des accessoires pour vélo : il est plus que judicieux de publier des articles avec des astuces vélo dans une rubrique blog afin d’attirer plus de trafic vers votre site.
Les réseaux sociaux : les médias sociaux ont pris une place énorme, je ne vous apprends rien, et influencent le passage à l’action des consommateurs (en B2C) et des décideurs (en B2B). On fait bien plus confiance à un expert qui montre son visage ou à une marque avec une image forte pour choisir une offre plutôt qu’une autre. Les réseaux sociaux fonctionnent avec des algorithmes qui font la part belle aux contenus étonnants, surprenants, marrants, inspirants ou polarisants. Je vous renvoie au guide des réseaux sociaux pour creuser cette piste de trafic.
La publicité : la publicité est le moyen le plus rapide d’obtenir un flux de trafic et de clients. Google, Facebook, Instagram, X / Twitter, Linkedin, Youtube, TikTok ont des milliards de visiteurs et proposent tous leur plateforme pour faire de la publicité. Consultez encore une fois les guides de Rudy pour optimiser vos campagnes.
L’influence : Faire appel aux influents (influenceurs, blogueurs, youtubers, instagrammers, tiktokers, twitchers…) contre monnaie sonnante et trébuchante est une alternative aux plateformes mainstream. Contactez les profils qui parlent (déjà) à votre audience et voyez quel deal vous pourriez faire avec eux (soit un échange de visibilité soit les laisser parler de votre produit ou prestation contre rémunération soit enfin en vous invitant à parler sur leur compte).
L’email marketing : envoyer des emails à vos inscrits est LE moyen de faire revenir du trafic très qualifié sur votre site. Non seulement ces gens vous connaissent déjà, mais en plus ils vous apprécient : ils ont souscrit à votre liste. A ce propos, le but de votre site n’est pas de donner de l’information, mais de capturer l’adresse mails de vos visiteurs. Vous n’avez pas encore de liste ? N’attendez plus.
Il existe plein d’autres moyens de trouver des clients en ligne (ou hors ligne).
Consacrez la moitié de votre temps à augmenter votre trafic qualifié et le nombre de vos visiteurs.
10. Vous ne savez pas tout faire, alors faites le faire.
Votre temps et votre cerveau sont limités.
Pour pouvoir consacrer la moitié de votre temps à chercher des clients, il va falloir confier à d’autres personnes une partie du travail.
Je n’aime pas la technique et à chaque fois que je bidouille du code, cela me prend des heures.
Heureusement, je travaille avec un excellent programmeur.
Idem pour la promotion de mes articles : une personne m’épaule pour envoyer mes mails.
Cela à un coût, mais je le vois plus comme un investissement : pendant ce temps je me consacre à ce qui ramène de la valeur.
11. Qui va travailler avec vous : la décision le plus importante
Même si vous travaillez seul, comme beaucoup d’entrepreneurs du net, vous aurez quand même besoin de choisir vos prestataires.
Si vous n’êtes pas satisfait du résultat, ce n’est pas trop grave.
C’est facile de changer.
Une recherche Google, et hop, vous avez un nouveau graphiste.
Le problème survient lorsque vous devez recruter.
Mettez les bonnes personnes aux bons postes et votre opérationnel roulera.
Faites des erreurs de casting et vous aurez un mal fou à vous en dépatouiller.
C’est pour cela que je suis persuadé que le personnage clé des grosses boîtes est le DRH : c’est lui qui choisit ceux qui intègrent l’équipe.
Avoir la bonne personne au bon endroit, c’est 70% du succès (et l’inverse peut couler votre boîte).
12. Les échecs existent : pensez plan B
Vous avez parfaitement pensé votre produit, votre service.
Tout est paré.
Le carnet de commande doit se remplir.
Voilà des mois que vous avez fignolé l’ensemble.
La demande est là, votre produit colle, vous allez faire un carton.
Vous en êtes certain.
Et patatra, les ventes ne décollent pas.
Vous avez raté.
Cela arrive.
La réussite n’est pas une science.
Tous les jours, des produits échouent.
Tous les jours, des boites ferment.
Ce n’est pas grave, tant que vous avez un plan B.
Si votre site ne décolle pas, savez-vous ce que vous ferez ?
Si votre promotion de la semaine est un échec, savez-vous comment rattraper le résultat du mois ?
Ayez toujours un scénario de repli, une autre offre, un autre produit, voire une autre idée de business.
Soyez comme une balle rebondissante et les échecs ne seront que des simples incidents de parcours.
Consultez le tutoriel pour lancer un site sur Internet
13. Les rêveurs et les entrepreneurs sont presque les mêmes.
Ils veulent tous reprendre le contrôle de leur vie.
Ils veulent décider de ce qu’ils font de leur temps.
Les grands projets naissent toujours d’une idée, d’un rêve.
Une seule chose distingue les entrepreneurs des rêveurs : le mot action.
Entreprendre, c’est aller un peu plus loin qu’une simple idée, c’est la concrétiser.
Je suis toujours amusé par ceux qui disent qu’ils vont créer un super business, mais qui ne veulent surtout pas dire de quoi il s’agit…
Car il ne faudrait pas qu’on leur pique la super idée du siècle, voyez-vous.
Ceux-là sont souvent des rêveurs. Ils n’ont pas compris que l’idée, ce n’est rien.
La difficulté, c’est de la concrétiser.
La difficulté, c’est l’exécution.
Généralement ils n’y arriveront pas.
Alors rêvez, et agissez.
Cet article invité à été rédigé par André Dubois que vous pouvez retrouver sur son blog TraficMania.
Générer du trafic et de la visibilité pour votre entreprise est un volet majeur du programme "Trafic & Clients".