Comment améliorer et optimiser vos techniques de copywriting ? Comment optimiser votre rédactionnel pour enfin être visible, remarqué et lu ? Comment écrire et rédiger des contenus impactants (posts de blog, publications sur les réseaux sociaux, emails ou annonces publicitaires). Nous allons détailler dans ce guide rempli d’astuces et de bonnes pratiques pour muscler votre jeu.
Note de Rudy : Cet article a été écrit par Yacine Seradj. Yacine est copywriter et aide les entrepreneurs en ligne et les agences à exploser leurs CA avec l’écriture persuasive (pages de ventes, email marketing…). Il s’agit de son 1er article sur Webmarketing Conseil et je suis ravi de l’accueillir. Si vous êtes expert en marketing, vous pouvez proposer vos articles en me contactant sur la page dédiée.
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Copywriting & techniques de rédaction
Je sais que cela fait mal.
Écrire vos articles, les peaufiner pendant des heures, pour n’avoir finalement aucun résultat (ou si peu).
Voir ses contenus finir dans les abysses Google en 11e position.
Or vous passez du temps à produire des contenus de qualité pour votre audience.
Et pourtant rien ne semble fonctionner pour vous.
Dans cet article, je veux vous aider à changer votre approche par touche en vous proposant une série d’astuces à appliquer maintenant pour rendre vos lecteurs (et potentiels prospects ou clients) accrocs à vos contenus.
Par exemple, je vais vous montrer pourquoi vous devriez arrêter immédiatement de publier vos articles pour réussir sur Internet (mais pas seulement).
Et aussi pourquoi vos profs avaient tort.
1. Votre professeur de français avait tort
Avec l’avènement du marketing de contenus (et son corollaire l’inbound marketing), les entreprises (et entrepreneurs) se demandent comment devenir un meilleur écrivain (ou rédacteur a minima).
– Comment produire des contenus impactants ?
– Comment passionner son audience et sa cible avec des contenus pointus qui intriguent et font passer à l’action ?
– Comment leur faire sortir leur carte de crédit également ? (j’en sais quelque chose, je suis copywriter).
En réalité, c’est plutôt simple : il suffit de copier sur les meilleurs de la classe.
On vous a appris à travailler dans votre coin sans regarder autour de vous.
Oubliez et pompez sur les meilleurs.
Ce conseil vient de Gary Halbert, l’un des plus grand copywriters.
Un conseil qu’il a donné à son fils.
Copier et apprendre de ceux qui ont de l’avance sur vous plutôt que de réinventer la roue.
Vous êtes sûrement abonné à de multiples newsletter de marketeurs ou de professionnels de la communication.
Copiez leurs emails.
Copiez leurs contenus.
Copiez leurs publicités.
Copiez leurs pages de vente.
Copiez leurs tunnels…
Parfois vous vous planterez en copiant une stratégie pas si efficace que cela mais au moins vous partirez sur une base « testable » plutôt que de zéro.
2. Pensez aux Hommes avant Google
Arrêtez d’être obsédé par le SEO.
Le référencement est évidemment un levier fondamental pour générer du trafic (et de l’attention).
Mais suroptimiser vos contenus peut ruiner vos contenus car vous pensez d’abord aux aspects techniques avant de penser à votre audience.
Il est plus simple de positionner un contenu bien optimisé en 1er sur Google qu’un texte de 500 mots écrit avec les pieds.
Pas de doute là-dessus.
Mais vous ne pouvez pas imaginer le bonus que vous recevrez en terme de partages et/ou de backlinks (et donc de référencement) en comprenant exactement ce que veut votre audience (ou en proposant des idées contre-intuitives et des « pépites » qu’ils n’ont jamais lu ailleurs).
3. Arrêtez de publier
Enlevez vos doigts du clavier et lâchez cette souris.
Cet énième article que vous (ou vos équipes) vous apprêtez à publier ne va pas produire cet effet boule de neige ni cette avalanche de trafic que vous attendez.
Augmenter son référencement est un processus long qui nécessite de publier régulièrement (les bons contenus).
Mais lorsque l’on démarre, l’inertie est forte avant que vous atteigniez ce point où la traction devient suffisante (et où tout devient ensuite plus facile).
J’ai plus simple pour vous.
Connectez-vous aux pompes à trafic déjà en place : donc les sites ou influenceurs qui ont déjà accès à l’audience que vous convoitez.
Mettez votre nom en face d’un maximum de ces personnes.
Rien de mieux que de proposer vos articles invités (comme je l’ai fait avec Rudy avec l’article que vous êtes en train de lire) pour profiter de ce flux le temps de sortir des limbes de Google.
Trouvez des blogs ou médias dans votre thématique, nouez des liens et proposez vos articles gratuitement en échange d’un lien vers votre site ou blog.
4. Mettez 90% de vos efforts sur la 1ère phrase
« Donne de la valeur dès la 1re phrase » (Eugene Schwartz)
Pensez à votre article ou contenu comme un discours : si vous n’accrochez pas votre audience, vous perdrez tout le monde avant d’en arriver aux points et au message que vous souhaitiez délivrer.
C’est pareil en matière de copywriting : si votre introduction ne donne pas envie de lire la suite, vous êtes fichu.
Pour un post de réseau social, ce sont même les 1ers mots, la 1ère phrase ou la 1ère image vue qui importe.
Vous devez capter immédiatement l’attention.
Gratifiez immédiatement votre lecteur (et pas seulement à la fin).
5. Utilisez au maximum les images
C’est d’autant plus vrai pour un contenu relativement long : lire est fatigant voire ennuyeux.
A l’heure du « snack content » (où nous sommes exposés à des flots de micro-contenus), venir à bout d’un long paragraphe (et donc à plus forte raison d’un guide énorme) est une montagne insurmontable pour certains.
Aidez-les en agrémentant vos contenus d’images (au moins une !) : que ce soient des images de couverture, des visuels, photos, illustrations, designs ou screenshots….
6. Aérez vos paragraphes
Règle simple : pas plus de 4-5 lignes par paragraphe.
Autant un livre peut se permettre de présenter des pavés de texte, autant sur Internet lire est fatigant.
Donc utilisez des paragraphes courts, pour garder votre lecteur attentif et ne pas le perdre en route.
7. Utilisez des phrases courtes
Encore plus simple : si vous voulez mieux écrire pour votre audience, entraînez-vous à utiliser des phrases courtes.
Coupez en deux vos phrases à rallonge.
8. Affirmez-vous
Vous n’êtes pas forcément une personne ou une entreprise controversée ou polarisante.
Mais je suis certain que vous avez des opinions qui peuvent trancher ou qui ne sont pas partagées par tous dans votre niche ou votre secteur d’activité.
Vous avez votre expertise et un savoir-faire qui diffère peut-être de vos concurrents ?
Alors affirmez-vous au lieu de partager des publications lisses et jargoneuses comme 90% des posts et articles trouvables en ligne.
Les émotions sont le moteur principal des partages que l’on parle de viralité sur réseaux sociaux ou simplement du bouche-à-oreille (« j’ai lu un article intéressant sur xxxxx, ils disaient que… »).
Donc utilisez à bon escient ces émotions pour :
– Inspirer
– Choquer
– Faire réagir
– Faire rire
– Confronter…
Au début de cet article : je vous ai demandé « d’arrêter immédiatement de publier ». C’est suffisamment intrigant pour donner envie de lire le reste (en tous cas, vous êtes toujours là !).
9. Ajoutez des « power words »
Je suis un type à l’ancienne, j’utilise toujours le Larousse.
Donc sortez comme moi votre dictionnaire de synonymes (en ligne) et changez certains mots de vos articles.
« Important » devient « critique ».
« Dangereux » devient « mortel ».
« Inquiétant » devient « terrifiant ».
Je n’ai pas dit de survendre, j’ai dit « muscle ton jeu, Robert ».
10. Ne soyez pas un expert
Lorsque l’on démarre dans la création de contenus, l’on est souvent pris d’un « syndrome de l’imposteur ».
Vous avez peur de ne pas donner assez de valeur.
Peur d’être exposé à des critiques (voire un « bad buzz » !).
Peur d’être la risée de vos pairs.
En réalité, tout le monde se fout de vos premiers contenus 😀
Si vous avez la chance d’être remarqué, ce sera en réalité quasi exclusivement positif.
Note de Rudy : après 600 contenus publiés en 10 ans, j’ai dû recevoir 3 critiques acerbes et des milliers d’encouragements.
Donc pas besoin de « faire sérieux » pour montrer que vous maîtrisez votre sujet.
Pas besoin d’utiliser un jargon pompeux pour « se protéger des critiques ».
Pas besoin également de vous relire 5x avant de « valider » la publication d’un contenu.
Vous n’êtes pas le président de la République ou le CEO de Facebook dont chaque mot est scruté.
Vous êtes un dirigeant et/ou un expert : vous êtes bons dans votre domaine et vous avez des messages à transmettre.
Des messages que votre audience doit comprendre, simplement.
Alors utilisez les mots qu’ils peuvent comprendre : vulgarisez et soyez fun à lire.
11. Parlez-moi comme à votre grand-mère
L’expertise, c’est être capable de rendre simple ce qui ne l’est pas.
Coupez ChatGPT pour le moment, s’il vous plaît.
Expliquez-moi comme à votre grand-mère ou à un enfant de 12 ans.
Mettez-vous au niveau de vos cibles sans les prendre pour des idiots : si vous êtes un expert avec une cible de dirigeant, traitez de leurs problèmes en prenant en compte leur niveau de connaissance de votre sujet.
12. Utilisez les sous-titres pour vous faciliter la lecture
Structurez vos textes en parties avec des titres (h2) et titres (h3).
C’est le meilleur moyen de permettre à vos lecteurs de scanner votre contenu et d’aller directement piocher ce qui les intéresse.
13. Soyez transparent et ne cachez pas les difficultés
La transparence est peut-être votre meilleur argument de vente.
Dans un monde où nombre de blaireaux vendent des « solutions miracle pour x100 vos résultats en moins de 10 minutes de travail par jour », ne pas cacher qu’attendre ses objectifs nécessite un effort ou du moins une stratégie structurée peut devenir votre force.
Un élément de crédibilité et qui filtrera les prospects et clients peu sérieux et non coachables (qui n’obtiendront donc jamais leurs objectifs).
14. Ce n’est pas ce que vous vendez qui compte….
Votre produit, outil, formation, service ou prestation n’est qu’une solution (parmi d’autres sur le marché) permettant à vos clients de résoudre leur problème, surmonter leur frustration, satisfaire leurs désirs ou leurs besoins.
Un exemple : il existe 10 000 programmes de fitness sur Instagram.
Quelles sont les raisons qui vont vous pousser à choisir l’un de ces programmes ou un autre ?
15. C’est la manière dont vous le vendez
Un programme de fitness, c’est basiquement :
– Des exercices à effectuer pour progresser
– Des conseils en nutrition pour maigrir (ou prendre des muscles)
– Un accompagnement pour tenir (mindset)
Mais vous pouvez le vendre de 100 façons différentes :
– Formation vidéo « Abdos d’acier » (hommes) ou « Fessiers rebondis » (femmes)
– Coaching en ligne « Perdre 5kg en 30 jours » pour les quarantenaires
– Accompagnement individuel « Préparation aux compétitions de fitness » sur 1 an
– Cours pour les seniors « Etre en forme après 80 ans »
Pour vendre votre offre, vous devez avoir un positionnement :
– Un client idéal (la cible dont vous souhaitez capter l’attention à travers vos contenus)
– Un problème à résoudre (le besoin que vous souhaitez satisfaire)
– Une méthode permettant de surmonter le problème du client (ou accéder à son désir)
– Mettre en avant votre personnalité / ADN, votre méthode, vos bénéfices et vos avantages concurrentiels…
Vous ne pouvez pas créer le besoin mais vous pouvez l’amplifier et devenir incontournable.
16. Traitez vos actifs avec soin
L’attention de vos clients est une denrée rare et une ressource difficile à capter :
1. Le temps de vos clients est limité.
2. Ils sont constamment sollicités (entre 2 notifications).
3. Ils sautent rapidement d’un sujet à l’autre.
4. Enfin, vous n’êtes pas seul à convoiter cette attention.
L’attention que vous générez auprès de votre audience est un actif de votre entreprise (au même que la confiance que vous transmettez).
L’attention est longue à obtenir & facile à perdre.
Mais reflète votre chiffre d’affaires présent et à venir.
Confiance et attention sont les deux actifs intangibles (mais de valeur) qui ensemble créent votre image de marque.
Que vous soyez Tesla ou Nicolas le designer indépendant.
17. Prenez vos prospects par la main
Prenez votre audience par la main et guidez-les.
N’attendez pas qu’ils trouvent par eux-mêmes ce que vous attendez d’eux.
Si vos contenus ont pour objectif de vendre, décrivez votre produit et insérez le lien pour passer commande et acheter.
Si vos contenus ont pour objectif de les inscrire à votre newsletter, insérez des bannières avec un guide à télécharger ou un coupon en échange de l’email.
Si vos contenus ont pour objectif d’obtenir des partages, mettez des boutons « Partager sur »…
Créez une audience et générer du trafic prend trop de temps (ou coûte trop cher) pour ne pas maximiser vos opportunités d’attendre vos objectifs en « laissant faire ».
18. Projetez vos clients vers la solution
Peindre un tableau précis des difficultés de vos prospects pour convaincre, c’est bien.
Cela permet de démontrer que vous connaissez les problématiques de vos clients (donc que vous êtes le bon interlocuteur) mais également de remuer le couteau dans la plaie (« il est temps de passer à l’action vu comment vous galérez »).
Cela rend votre solution réelle et tangible.
Mais n’oubliez pas également de projeter votre lecteur vers un futur meilleur (celui où il aura acheté votre produit évidemment !) où il aura atteint son objectif et dépassé sa frustration.
19. Devenez un sniper
N’oubliez jamais : vous n’avez pas besoin de vendre à la Terre entière pour vivre de votre activité ou développer votre entreprise.
Il est préférable d’être numéro 1 sur une ultra-niche que numéro 20 sur un énorme marché.
Soyez un sniper : choisissez votre cible et focalisez-vous sur ses problèmes pour résonner.
20. Soyez spécifiques pour créer la curiosité
Plus vous serez focalisé sur une audience précise et moins votre discours sera généraliste.
Exemple : un de mes clients comptable voulait aider les entrepreneurs artisans et commerçants à mieux gérer leur activité en identifiant ce qui grève leur rentabilité. En terme de ciblage, c’était déjà assez précis mais ses contenus étaient centrés autour de « mieux gérer son activité » ou « augmenter sa rentabilité ». Autant de contenus déjà écrits 50 000 fois sur Internet donc difficile pour être repéré.
Après réflexion, nous avons décidé de cibler les restaurants uniquement et là, miracle, tout est devenu simple. Ses contenus sont devenus « optimiser sa carte pour éviter de jeter » ou « gérer le stock d’une brasserie » avec une approche beaucoup plus parlante pour cette cible (et beaucoup moins de concurrence, les contenus existants sur ces sujets étant assez faibles).
21. Préparez-vous mentalement à parler à votre audience
Peu nombreuses sont les entreprises qui parlent réellement à leur audience.
Elles partent généralement de leur expertise en espérant que leur cible reçoive le message.
Donc préparez-vous à leur parler.
Plongez dans leur psychologie et utilisez leurs mots.
Parlez avec empathie et délivrez ce qu’ils attendent de leurs vœux, ce qui a du sens pour eux.
22. Mettez en avant vos bénéfices (et non vos fonctionnalités)
Ne listez pas les caractéristiques de vos produits (200 pages, 50h de vidéo, 30 formations, 150 outils, 1 tonne de pommes de terre).
Parlez de vos bénéfices (à quoi vous servez, ce que l’on obtient grâce à vous).
23. Votre prix est un message (qui influe sur votre valeur perçue)
Imaginez : vous arrivez à développer un produit ou une offre d’exception qui se démarque de la concurrence et que vous en donniez l’accès pour 9,99€ ?
Quel message renverriez-vous à vos prospects ?
Votre pricing est un message :
– Il peut signifier « ce n’est pas pour tout le monde, mon offre est une Rolls Royce, la seule qui vous donne une assurance de résultat. »
– Il peut aussi vouloir dire « regardez mon prix incroyablement bas (pour ce que je propose), vous seriez fous de ne pas passer à l’action maintenant »
Mais il ne devrait jamais dire « Etrange ce tarif »
24. Anticipez les objections
Plus vous connaissez votre cible et plus vous connaissez les objections récurrentes de vos clients qui les empêchent de vous choisir.
Anticipez leurs objections en répondant à leurs attentes et craintes directement dans vos contenus, avant mêmes que ces objections ne se formulent dans leur esprit.
25. Soyez contre-intuitif
Lorsque tout a déjà été dit dans votre niche, soyez contre-intuitif.
Changez d’angle d’attaque en créant la surprise : « voici comment perdre du poids sans dire non à vos desserts préférés !«
26. Délivrez des résultats
C’est bien de « vendre » avec vos contenus mais votre produit doit délivrer la promesse.
Vos clients sont les mieux placés pour vous recommander (et générer de nouvelles ventes).
27. Arrêtez de procrastiner et acceptez l’imperfection
Chassez votre voix intérieur qui vous dit que votre contenu n’est pas au niveau.
Donnez-vous une date (ou une heure limite) et cliquez sur « Publier ».
Votre contenu ne sera jamais terminé en soi et vous pouvez faire une v2 plus tard.
28. Restez simple
« Le diable se cache dans les détails »
« Le mieux est l’ennemi du bien »
Que vous mettez en place votre copywriting, concentrez-vous sur les bases.
La formule AIDA (Attention, Intérêt, Désir, Action) fait largement l’affaire.
Pas besoin de réinventer la roue.
Note de Rudy : personnellement j’utilise mon « framework » de copywriting que j’ai appelé IPATO (on en reparlera).
29. Utilisez Antidote
Chasser les fautes d’orthographe et de grammaire, c’est facile quand on lit un texte que l’on n’a pas écrit soi-même.
Plus difficile de ne pas laisser passer des coquilles lorsque l’on produit.
Découvrez Antidote, un logiciel excellent qui corrigera toutes vos fautes.
30. Editer vos contenus (plusieurs fois)
Quand on a terminé le process d’écriture, l’on a immédiatement envie de relever la tête et de faire connaître notre contenu au monde (et tirer bénéfice de son impact).
Ne cédez pas, peaufinez votre article, contenu, post ou vidéo : c’est cet « extra mile », ce dernier effort dans la bataille, qui fera la différence en terme de portée, de partages, de backlinks et de ventes.
31. Passez au tableau
Encore un conseil à l’ancienne : relisez-vous à voix haute (ou faites relire) votre texte lorsque vous avez terminé.
Si vous vous exprimez comme ChatGPT, essayez d’ajouter une touche de personnalité et de naturel.
32. Arrêtez de chercher une baguette magique
Pour devenir meilleur, vous devez bosser.
Il n’y a pas de raccourci, pas de formule magique.
Vous apprendrez en faisant et en faisant vous optimiserez votre approche.
Jusqu’à créer une « business machine ».
33. Recyclez vos contenus
Réutilisez vos contenus : un seul contenu peut permettre de créer une série de posts Linkedin, une infographie à partager, une vidéo, un podcast…
Recyclez vos contenus à la publication mais également d’année en année.
Note de Rudy : j’ai un marronnier sur le « classement des réseaux sociaux dans le monde« , je n’ai pas besoin de le réécrire intégralement chaque année. Je le mets à jour, éventuellement je l’enrichis et corrige les erreurs. Ce sujet est certain de refaire des vues chaque année.
34. Écrivez tous les jours
Encore une fois, simple non ? Mais terriblement efficace.
Vous voulez mieux écrire pour convaincre : alors écrivez régulièrement.
Ecrire doit devenir une routine :
1. Plus vous écrivez et plus vous êtes rapide à former une pensée.
2. Plus vous écrivez (et publiez) et plus vous ferez partie du quotidien de votre audience.
Même si ce n’est que quelques lignes, écrivez. Chaque jour.
35. Faites la promotion de vos contenus
Je termine en disant que la création de contenu n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Pour que votre contenu vive et soit partagé, vous devez le promouvoir et ne pas juste le « poster » puis le laisser vivre.
Un contenu peut faire x10 en résultats sans problème si vous lui donnez l’impulsion nécessaire pour qu’il prenne son envol.
J’espère que ce guide vous a plus et vous aidera.
Si vous ne deviez retenir qu’un point, ce sera mon point 3 donc :)
Générer du trafic grâce au référencement est un volet majeur du programme "Trafic & Clients".
